À la cour du dernier empereur de la mode »

Sylvana Lorenz commencera sa conférence sur la vie de Pierre Cardin en montrant une vidéo de 5 minutes, réalisée par elle-même, pour présenter en quelques images le couturier et ses créations.

Ensuite, elle racontera la vie de Cardin, le créateur, l’homme d’affaires, le mécène mais aussi Pierre, l’homme intime et secret, ses blessures de jeune émigré, ses débuts à Paris sans famille et sans argent. Elle évoquera ses rencontres décisives avec des figures du Tout-Paris tels Cocteau, Jean Marais et bientôt Christian Dior, qui saura faire éclore son talent ; ses amours homosexuelles cachées et celle au grand jour avec Jeanne Moreau qui ne lui donnera pas d’enfant ; sa façon de régner en monarque dans sa maison où il organisait de somptueuses fêtes…

De l’empereur de la mode elle dira les inspirations, les marottes, la façon artisanale de gérer son empire commercial, le charme pénétrant... Mais aussi les rivalités entre certains de ses collaborateurs, prêts à s’entre-tuer pour un regard de leur maître. Un jeu dont ce grand séducteur savait doser l’intensité en parfait alchimiste des sentiments...

Sylvana Lorenz a publié le livre :

« Madame Cardin

À la cour du dernier empereur de la mode »

Elle nous dit :

« Pierre Cardin m’a légué ses mémoires.

À moi seule, l’homme secret a raconté sa vie par bribes, durant les trois décennies que j’ai passées à ses côtés. Je dévide ici le fil précieux des souvenirs de celui qui fut mon seigneur. C’est le plus bel héritage qui soit. »

Sylvana Lorenz dessine dans cet ouvrage l’homme intime et secret, ses blessures de jeune émigré, ses débuts à Paris sans famille et sans argent. Elle évoque ses rencontres décisives avec des figures du Tout-Paris tels Cocteau, Jean Marais et bientôt Christian Dior, qui saura faire éclore son talent ; ses amours homosexuelles cachées et celle au grand jour avec Jeanne Moreau qui ne lui donnera pas d’enfant ; sa façon de régner en monarque dans sa maison où il organisait de somptueuses fêtes…
De l’empereur de la mode, celle que ses collègues raillaient en l’appelant « Madame Cardin » dit les inspirations, les marottes, le charme pénétrant… Mais elle raconte aussi les rivalités entre certains de ses collaborateurs, prêts à s’entretuer pour un regard de leur maître. Un jeu dont ce grand séducteur savait doser l’intensité en parfait alchimiste des sentiments.

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